Michel Husson | hussonet@free.fr | retour à la page d'accueil
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Curriculum vitae Administrateur de l'INSEE (1ère classe), chercheur à l'IRES Etat civil Né le 3 Avril 1949 à Lyon. Etudes & diplômes Licence Sciences Economiques. Assas, Nanterre (1966-1970). Diplôme d’Etudes Supérieures de Sciences économiques. Panthéon (1970-1971). ENSAE (1971-1974) Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration Economique. Administrateur de l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques). Carrière professionnelle 1975-1984 Direction de la Prévision du Ministère de l’Economie : travaux de modélisation macroéconomique 1985-1987 INEGI México (Institut National de Statistique) : responsable d’un modèle de l’économie mexicaine. 1987-1989 Ministère de l’Industrie. SESSI (Service de Statistiques Industrielles) : Chef du Bureau Analyse Statistique. 1990-ad libitum IRES (Institut d’Etudes Economiques et Sociales, lié aux syndicats). Choix de publications Les casseurs de l’Etat social, La Découverte, 2003. Le grand bluff capitaliste, La Dispute, 2001. Six milliards sur la planète : sommes-nous trop ? Textuel, 2000. Les ajustements de l’emploi, Page deux, 1999. voir site hussonet |
BIOGRAPHIE* Ma vie : Délégué (avec Michel Rocard) au congrès du PSU de Dijon (1969) ; instructeur des CEMEA, Centre d’entraînement aux méthodes d’éducation active (1972) ; directeur diplômé de colonie de vacances (1973) ; administrateur de l’INSEE de 2ème classe (1974), puis de 1ère classe (2001) ; diplôme de secouriste (1978) ; chef d’escadrille à l’IRES (Institut de Recherches Economiques et Sociales) ; membre du Comité central de la Ligue communiste révolutionnaire, section française de la Quatrième Internationale, de 1995 à 2000 ; animateur du GTE (Groupe de Travail Economique) de 1982 à 2004. Mon oeuvre : « Les insuffisances évidentes de l’oeuvre de Marx avaient jusque là laissé des trous béants dans l’analyse critique du capitalisme. Mes tentatives pour les combler sont dorénavant achevées et, les bases de ce néo-marxisme ainsi jetées, c’est l’ensemble de la conception bourgeoise du monde qui peut commencer à vaciller. Après avoir réglé la question de la transformation des valeurs en prix, j’ai travaillé à une synthèse méta-théorique combinant les apports les plus pertinents de l’Ecole de la Régulation de Saint-Rémy les Chevreuse et du marxisme post-stalinien. A l’analyse globale de l’économie (ancienne et nouvelle) j’ai greffé une théorisation originale de la gratuité comme élément subversif associé à une réduction spectaculaire de la durée du travail. Reprenant Le Capital là où il s’arrête, j’ai ainsi esquissé les grands traits d’un programme de transformation sociale planétaire : nouveau plan de développement fondé sur l’identité de Kaya, équation de gauche des systèmes de retraite par répartition, et nouvelle architecture institutionnelle à l’échelle mondiale. Synthèse pratique de Marx et Freud, ma vie privée s’articule avec mes interventions plus militantes pour faire de moi un personnage bien distrayant ». (présentation de ma conférence Marx et moi, ou Le Capital 2) * légèrement parodique
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